« L’auteur, musicien, conteur cantalien ouvre son armoire à souvenirs pour nous offrir 36 histoires (nouvelles) forgées de rencontres, de paysages, d’instants de vie, de secrets transmis à la lueur du cantou. Ces dernières nouvelles d’un « monde perdu » en transition vers de nouveaux espaces sont poussées par des vents d’espièglerie, de poésie, de tendresse bourrue.
Des histoires qui disent la fraternité et la solitude, le bonheur et la peine, la manière de composer avec la vie et d’apprivoiser la mort, l’impossible expression des mots et des sentiments, la beauté des gestes et du chant des oiseaux, l’inexorable disparition des choses immuables. »
Le monde perdu de Martin Trapenard, par André Ricros