Description

À propose de l’auteur

Pierre Moulier est professeur de philosophie et auteur d’une vingtaine d’ouvrages consacrés à l’histoire et au patrimoine auvergnat. Il a notamment publié un inventaire des églises romanes de Haute-Auvergne (1999-2001), un inventaire des croix de chemin (2003) et un essai d’ethnographie du Cantal (2015). En 2004, il fonde la revue Patrimoine en Haute-Auvergne qui en est à son trente-cinquième numéro.

Ils en parlent :

L’ouvrage paru aux éditions de La Flandonnière, et que l’auteur a voulu « impertinent à une époque de consensus où il ne faut jamais dire un mot plus haut que l’autre », compte soixante-dix entrées parmi lesquelles la bouffe, la croix, les élus, le Lioran ou encore le scénoparc… 

La presse locale a elle aussi droit « au coup de plume » du professeur de philosophie. Qui livre ici un ouvrage sans concessions, tantôt drôle, tantôt agaçant, et passionnément entier.

La Montagne, 3 juillet 2019

En plus de soixante-dix entrées, d’ « authenticité » à « vieux », en passant par « bougnat », « neige » ou « paysan », ce dictionnaire atypique explore les malentendus suscités par un département qui n’assume pas toujours son hyper ruralité. Ça gratte et ça chatouille, et parfois ça gifle et ça cogne. Attention car l’humour est souvent corrosif et l’auteur ne ménage rien ni personne !

Mais derrière l’impertinence se cache l’amour profond d’un territoire aussi unique qu’ambivalent, et des hommes qui tentent d’y vivre dignement.

Un livre qui n’est pas fait pour plaire à tout le monde mais tellement merveilleux qu’il se dévore d’une ou deux traites.

Le Réveil cantalien, 6 juillet 2019

Jusqu’à ce dernier ouvrage, Pierre Moulier s’était surtout intéressé à l’histoire du Cantal et de ses habitants, à son patrimoine. Mais en amoureux de son « pays », il a eu envie de livrer sa vision du département à l’heure actuelle. Dans ce « dictionnaire passionné et impertinent du Cantal », aux entrées multiples, il égratigne tantôt les élus, le roman de terroir, les « exploitations » agricoles, mais il célèbre aussi la sagesse des habitants qui préfèrent vivre ici avec moins d’argent que dans des métropoles déshumanisées, la solidarité qui existe encore ou la beauté des paysages et la richesse du patrimoine.

La Dépêche d’Auvergne, 13 juillet 2019

Une lecture réjouissante, une critique du politiquement correct, un pamphlet contre le pseudo-progrès, une défense du vrai monde paysan.

Lecteur